Dans El Watan du 2 mai 2017 Abdemadjid Merdaci évoque les massacres perpétrés par le colonialisme le 8 mai 1945. Il montre que la répression organisée n’a pu briser la revendication montante de l’indépendance. Elle a au contraire précipité la rupture de Novembre 1954.
Mais on ne sait quelle mouche l’a piqué. Au détour d’un paragraphe il n’a pu s’empêcher de s’en prendre à Alger républicain, à la CGT et au PCA, en des termes qui feraient croire à des gens mal informés que ce journal et ces organisations faisaient partie du camp du colonialisme.
Zoheir BESSA