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Accueil > Actualité politique internationale > Europe > Grèce
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Le samedi 14 février, des milliers de personnes ont répondu à l’appel du Parti Communiste de Grèce (KKE) et ont marché du centre de la ville de Florina jusqu’au lieu de l’inauguration d’un monument commémoratif du sacrifice des partisans communistes pendant la guerre civile grecque. Ce monument est une œuvre de l’artiste communiste Memos Makris, il a été construit sur le site où sont enterrés plus de 700 partisans de l’Armée Démocratique de Grèce, la force armée du KKE pendant la guerre civile (1946-1949).
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Raphaël Da Silva
31.03.16
Le faux dilemme « mémorandum-antimemorandum » a permis à SYRIZA de s’emparer des idées, pour tromper les forces populaires, en promettant que le peuple pourrait être épargné des mesures anti-ouvrières dures tout en restant à l’intérieur du cadre de l’UE et de la voie de développement capitaliste, en promouvant la demande d’une réduction d’une partie de la dette de l’État, à donc accepter, en substance, que la dette créée par les gouvernements de la ploutocratie devrait être payée par le peuple.
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Article de la Section des relations internationales du Comité central du KKE.
27.08.2015
Traduction légèrement revue par la rédaction d’Alger républicain
Quelques jours seulement après que les Grecs aient rejeté, par une majorité absolue de plus de 61%, le diktat du Fonds monétaire international, de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne et de l’Eurogroupe réunis, le gouvernement Tsipras, contre toute attente, a fait adopter par le Parlement grec : la Vouli, un nouveau projet de mesures d’austérité de 13 milliards d’euros encore plus rude que le paquet de mesures d’austérité précédentes de 9 milliards d’euros rejetées par le référendum du 5 juillet !
La troïka jubile : les « négociations » (sic !) ont porté leurs fruits… Quelle terrible défaite ! Et c’est Tsipras, le leader du parti de la gauche radicale Syriza, lui-même, qui va devoir accomplir l’infamie qui crucifie son peuple ! [...] le peuple grec se voit imposer un nouveau dispositif d’appauvrissement et de misère.
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Par Abdelatif Rebah
In le Soir d’Algérie
20.07.15
• À dire un grand NON, véritable et ferme à l’accord-mémorandum, qui a été signé par la coalition gouvernementale SYRIZA-ANEL AVEC l’UE-BCE-FMI et à combattre, dans la rues et sur les lieux de travail, contre les mesures infernales qu’il comporte.
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Le Comité central du KKE (Parti communiste de Grèce)
13 juillet 2015
Source : Solidnet.
Le gouvernement du parti de « gauche » SYRIZA et du parti nationaliste ANEL place le fardeau insupportable de nouvelles mesures antipopulaires sur le dos de la classe ouvrière et des autres couches du peuple, avec le soutien du parti de droite ND, du parti social-démocrate PASOK (les deux gouvernaient ensemble jusqu’en janvier 2015) et du parti centriste POTAMI.
[...] Le peuple ne doit pas avoir à choisir entre sa faillite avec l’euro ou sa faillite avec la drachme.[...]
le KKE appelle les travailleurs à organiser leur riposte dans les rues et les lieux de travail contre les nouvelles mesures de destruction.
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Compte-rendu du KKE
in solidarité-internationale-pcf.fr
11 juillet 2015
Le Conseil des dirigeants politiques s’est tenu au palais présidentiel un jour après le référendum du 5 juillet. Il a été présidé par le Président de la République P.Pavlopoulos. Le premier Ministre et Président de SYRIZA A.Tsipras, le Président en exercice du ND E.Melmarakis, le Président de POTAMI S.Theodorakis, le Secrétaire général du CC du Parti communiste de Grèce (KKE) D.Koutsoumpas, le Président de l’ANEL P.Kammenos et le Président du PASOK F.Gennimata ont participé à une réunion (…)
Le 5 juillet 2015, un référendum s’est déroulé en Grèce. La question posée était si les citoyens acceptaient ou non l’accord proposé, présenté par l’UE—FMI-BCE afin que se poursuivent les mesures anti-populaires d’une valeur de 8 milliards d’euros.
La majorité gouvernementale SYRIZA-ANEL a rejeté la proposition de KKE au gouvernement de présenter au jugement du peuple Grec un avant-projet d’accord liant ensemble la question de l’abrogation de toutes les lois qui ont été passées dans les années récentes à la question du désengagement de l’UE. Au même moment, la coalition gouvernementale a expliqué que le NON au référendum est interprété par le gouvernement comme une approbation de son propre accord proposé avec l’UE-FMI-BCE, lequel inclut aussi dans 47+ 8 pages des mesures dures anti-ouvrières et anti-populaires, d’une valeur de 8 milliards d’euros.
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Parti communiste de Grèce
06.07.15
in Solidnet
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SYRIZA est arrivé au pouvoir en s’emparant des revendications ouvriers-populaires. Maintenant il tente de tromper le peuple une fois de plus, en faussant et en interprétant les votes du peuple en fonction de ses intérêts.
Cinq mois après les élections, le gouvernement se prépare à envoyer au peuple la note avec les mesures du nouvel accord qui constitue une vraie corde au cou des couches populaires qui se sont saignées, et continueront à se saigner pour la dette, pour l’UE, pour la rentabilité des monopoles, si elles ne passent pas à la contre-attaque, sur la voie de la rupture et du conflit avec l’UE et les monopoles.