Histoire du mouvement ouvrier algérien

Le mouvement ouvrier algérien a combattu pour l’indépendance du pays et aussi pour le développement national par la promotion de son économie.

Il est important et nécessaire de bien connaître l’histoire de ce mouvement ouvrier, objet de déformation et de dénigrement de réactionnaires de diverses obédiences qu’elle a subi et continue de subir férocement aujourd’hui.


Articles publiés dans cette rubrique

lundi 4 mai 2020
par  Alger republicain

Le massacre des dockers d’Alger : C’était il y a cinquante ans … *

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lundi 4 mai 2020
par  Alger republicain

2 mai 1962, au port d’Alger : l’attentat diabolique de l’OAS

Le 2 mai 1962, au matin, les dockers d’Alger étaient la cible des fascistes de l’Organisation Secrète Armée (OAS). Une voiture bourrée d’explosifs explosa devant le centre d’embauche des dockers fauchant la vie à soixante-six travailleurs et causant de graves blessures à cent-dix autres. C’était un des 1728 attentats commis au mois de mai par les (...)

lundi 4 mai 2020
par  Alger republicain

2 mai 1962 : le massacre des dockers du port d’Alger par l’OAS

Le lecteur trouvera deux articles qui évoque le 58 ème anniversaire de ce carnage.
L’un est de Mohamed Rebah, l’autre de Tahar El-Hocine
AR

mardi 2 avril 2019
par  Alger républicain

Une femme taxi à Sidi Bel Abbès (film)

Hommage aux femmes travailleuses de l’usine ENIE de Sidi Bel Abbès incendiée.

Ce film de Belkacem Hadjadj rend hommage à leur lutte et à leur résistance à travers l’histoire d’une femme devenue chauffeur de taxi.

Djamel Mouheb
02.04.19

mercredi 13 juin 2018
par  Alger républicain

« Madame, je suis Arabe, moi ! » La famille Schecroun, d’une clandestinité à l’autre

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Oran, 1954. Fête du journal Liberté. De gauche à droite : Francine Schecroun, Marie-Rose Solbes et Jacqueline Schecroun.

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« L’homme a des ressources terribles en lui. Des ressources mentales et physiques. Seulement, il faut les faire vivre. »
C’est en ces termes qu’Émile Schecroun, disparu en juin 2018, évoquait en 2011 sa résilience face aux souffrances vécues dans sa jeunesse.

À 13 ans, il avait connu la faim, le froid et la peur avec sa famille, cachée dans les Alpes pour échapper aux rafles franco-allemandes.

À 26 ans, il s’était senti proche de la mort, lorsque les policiers tortionnaires d’Oran s’acharnaient à lui faire payer sa participation à la guérilla urbaine.

P. J Le Foll-Luciani
13 juin 2018
in Trajectoires dissidentes