Opinions
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Articles publiés dans cette rubrique
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« C’est le marché qui régule l’économie »
C’est le leitmotiv des forces droitières, de Benyounes en particulier, pour justifier leur aversion vis-à-vis de la planification et de tout autre regard de l’État sur les activités des patrons privés.
[...] Depuis que le tarissement des gisements de certaines matières premières s’est avéré une réalité irréversible les propriétaires de ces sociétés ont fait agir leurs pays respectifs, conformément à des plans préétablis pour s’accaparer de ce qui reste des richesses naturelles au niveau de toute la planète.
[...] C’est à quelque chose près le marché auquel Mr Benyounes et compagnie veulent confier la régulation de l’économie nationale et paraît-il c’est la démocratie qui l’exige. Une démocratie de ceux qui ont le pouvoir d’exiger des autres de se conformer à leur bon vouloir.
Ammar HADI
26.01.18
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Au pays de la plus grande démocratie du monde
Trump multiplie les frasques, les menaces, les insultes et les provocations ; il insulte les peuples, il crée le désarroi et la terreur.
Il menace la Corée du Nord et raille les caractéristiques physiques de son président ; il pose une bombe en Palestine en décidant de faire déménager l’ambassade étasunienne à Jérusalem Est.
Et de frasques en frasques, il soulève des contestations populaires et les interrogations des professionnels américains de la santé.
Nedjma MERABET
Point de vue sur un aspect de l’Appel au boycott du SILA
Non, la violence faite aux femmes, ne relève ni du « droit », ni de « la liberté d’expression »
Dans le texte-pétition d’appel au boycott du SILA, dont elle assume la rédaction, Mme S. Haïder, a tenu des propos graves et dangereux, sous couvert de la défense et de la promotion de la « liberté d’expression ». Prenant, à juste titre, prétexte des déclarations indignes et scandaleuses du Commissaire du SILA banalisant les violences faites aux femmes par leurs conjoints, elle considère néanmoins que le Commissaire a parfaitement le « droit » de penser ainsi, au nom de la « liberté d’expression ».
Smaïl Hadj Ali
26.09.17
Algérie Exclusif : Pendant la période du terrorisme, le GIA algérien « n’a exécuté personne »*
[...] il faut nous expliquer pourquoi, il y a vingt ans, quand les tueurs du « califat » algérien égorgeaient dans les villes et les champs personne ne s’en soit alors indigné. ... pas un penseur n’a levé une croisade pour flétrir les monstres.
[...]
Aujourd’hui, puisqu’ils tuent des américains, des anglais et un français (justement en Algérie), les consciences endormies ouvrent l’œil sur la lame des couteaux. A titre posthume leur éveil devrait les conduire à présenter leurs excuses au peuple algérien : derrière le « qui tue qui ? » se cachaient déjà des barbares.
Jacques-Marie BOURGET
in Le Grand soir
20.11.14
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* Titre modifié par Alger républicain
N’oubliez pas de demander pardon !
En partant, n’oubliez pas de demander pardon à la communauté artistique et culturelle nationale ! Pas pour vos choix, votre allégeance au pouvoir, vos dérives langagières, vos maladresses en matière de gouvernance, vos approximations en culture ; non, demandez pardon pour avoir dilapidé les ressources financières et muselé les compétences nationales, pour avoir vilipendé les actions et les conduites citoyennes, pour avoir été autiste à toutes les propositions constructives, pour avoir comprimé notre présent et compressé notre avenir. Demandez pardon pour avoir épuisé les Hommes et éreinté la culture.
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Mansour Abrous
5 mai 2014