Daum conclut son article par une petite note de bas de page.
"Au prétexte de ce « terrorisme résiduel », écrit-il, l’État maintient un nombre important de barrages militaires, qui rassurent mais perpétuent aussi le sentiment d’un pays en danger".
Elle résume à merveille ses ignorances et sa grande désinvolture pour les questions de sécurité qui constituent encore une préoccupation vitale pour les citoyens. Etrange q’un journaliste postulant au rang de grand connaisseur de l’Algérie accorde si peu d’attention à l’exigence de tout un peuple pour que ses gouvernants assurent sa sécurité contre les menaces de ceux qui ont tué des dizaines de milliers de citoyens.
Z.B.