Nos journalistes sont parfois, peut-être trop souvent, consciemment ou pas, formatés. En effet, par les temps qui courent, rares sont ceux qui échappent à leur environnement, aux pressions des médias réactionnaires, des agences de presse à la solde de l’impérialisme, des agents consulaires ou diplomatiques.
Encore plus rares sont ceux qui s’efforcent de garder leur esprit critique envers la propagande des Etats impérialistes. Ne voit-on pas des journaux algériens à petit ou grand tirage se contenter de publier in-extension ou reprendre des "analyses" ou informations de l’AFP et de France 24 sur des sujets graves ?
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Malik Antar
26.09.16