Nos médias (les médias du capital, ne l’oublions pas !) adorent les manifestants hongkongais qui, par milliers prétendent-ils, brandissent des parapluies pour exiger la démocratie, la pure, la vraie, l’authentique !
[...]
Il y a là une tentative manifeste des États-Unis de déstabiliser la Chine. Il y en aura d’autres, soyons-en certains. N’accordons aucun crédit à ces manoeuvres !
... soyons objectifs, tentent de nous faire croire les Occidentaux, veillons à ne pas comparer la Corée avec Israël, la plus grande démocratie du Proche-Orient qui possède, elle, 300 bombes nucléaires, selon ce que vient de déclarer Jimmy Carter, l’ancien président des USA qui, parfois, se laisse aller à des confidences. Trois cents bombes nucléaires auxquelles personnes ne pense, à ce que l’on dit. Mais c’est que cet état doit être prêt à se défendre contre toute agression étrangère, n’est-ce pas ?
En ce mois de décembre, plus de 6 500 cheminots, membre du combatif syndicat KRWU, se sont mis en grève pour lutter contre un plan de privatisation rampante du rail sud-coréen. Ils sont aujourd’hui à leur deuxième semaine de mobilisation.
Selon le syndicat, le projet de « Korail » (SNCF coréenne) d’ouvrir les trains inter-cités à l’investissement étranger est le cheval de Troie de la privatisation du secteur, qui s’accompagnerait de hausses des tarifs et de licenciements massifs.
Le 20 avril 2013 à Paris, l’Alliance Coréenne pour la Réunification et la Démocratie, organisait un colloque pour la signature d’un traité de paix entre la Corée du Nord et les USA. Le Collectif communiste Polex sollicité lui a transmis le texte ci-dessous :
Sans aucun doute, personne mieux que Fidel ne peut nous éclairer d’une manière historique et didactique sur la réalité de la péninsule asiatique. Relisons les deux réflexions proposées en juillet 2008, les enjeux et les risques d’un embrasement généralisé nous concernent tous. Demain il sera trop tard, ne soyons pas complices …
LES DEUX CORÉES
Première partie
La nation coréenne, que sa culture spécifique différencie de ses voisins chinois et japonais, existe depuis trois mille ans, (…)
Trois millions d’ouvriers indonésiens en grève, 200 000 manifestants dans les rues de Djakarta contre la précarité généralisée et les salaires de misère.
Il ne s’agit pas ici de prendre une position nette pour ou contre le nucléaire mais de dénoncer ses risques. Le premier problème à régler étant celui de l’investissement nettement insuffisant dans la recherche pour garantir une plus grande sécurité aux populations de planète et de profondes recherches dans l’étude des déchets dont personne ne sait quoi faire.