Réuni à Alger, le Conseil national palestinien adopte le 15 novembre 1988 lors de sa dix- neuvième session une déclaration d’indépendance. Il accepte les résolutions 181 (le plan de partage de 1947), 242 et 338 des Nations unies ce qui équivaut à une reconnaissance du droit d’Israël à vivre « en paix et en sécurité ». De plus, « l’État de Palestine condamne la menace et l’usage de la force, la violence et le terrorisme ».
Selon Palestine al Youm, après le tir de plusieurs roquettes contre les hauteurs du Golan depuis la Syrie, l’armée sioniste a décidé de se retirer des terres agricoles du Golan occupé. l’armée israélienne a proclamé les régions situées autour du point de passage de Quneitara, zone militaire fermée. ce point de passage est tombé depuis une semaine entre les mains des terroristes d’Al Nosra, largement aidés par Israël.
A l’occasion de l’accord de trêve établi entre l’occupant israélien et les forces palestiniennes, l’APS a publié le communiqué suivant :
ALGER- Plusieurs pays et organisations ont salué l’accord de cessez-le-feu ? Ghaza, conclu mardi au Caire entre Palestiniens et Israéliens, après 50 jours d’agressions sionistes qui ont fait 2.143 martyrs et dévasté l’enclave palestinienne sous blocus depuis 2006.
L’opération israélienne « Bordure protectrice » a fait 2.143 morts et 11.000 blessés dans la bande de Gaza et quelque 475.000 personnes ont été déplacées. Près de 55.000 maisons ont été touchées par ailleurs par les frappes israéliennes, dont au moins 17.200 totalement ou quasi-totalement détruites, selon le Bureau de coordination des Affaires humanitaires de l’ONU (Ocha).
Homme engagé, le cinéaste britannique Ken Loach vient de prendre position dans le conflit au Proche-Orient. Pour lui, plus question de soutenir et/ou de participer aux événements culturels et sportifs organisés par Israël.
Extraits d’un texte sur de Smail Hadj Ali sur l’oppression et la violence colonialiste israélo-sionistes.
Ce texte s’appuie sur des faits et des discours réels des oppresseurs et de leurs supplétifs européens et français en particulier. Ce texte emprunte quelquefois, en les fusionnant, des mots de Brecht, Neruda, Darwich.
Pourquoi les Palestiniens, qui meurent si facilement dans le silence ou dans si peu de bruit, sont-ils à ce point attachés à leurs poètes au point de ne pas se résigner à les voir partir ?
Les Palestiniens aiment leurs poètes parce que nul ne les exprime aussi bien. Sur la page Facebook des amis du poète Samih El Qassim, les messages sont nombreux et poignants. Il est leur voix ce poète qui a dit : « Moi, sur mon dos il y a des rochers mais il n’a point plié ».
Julien Sauvaget, rapporte depuis Israël la propagande de l’armée israélienne sur la chaîne FRANCE 24.
Par ailleurs, il nomme systématiquement « Tsahal » cette armée monstrueuse aux yeux des victimes, ce qui contribue à l’embellir. Faut-il rappeler que « Tsahal » signifie « armée de défense » : or il s’agit d’une armée offensive.
Il semble clair que la CPI , Cour pénale impérialiste, ne prendra aucun risque de déplaire aux puissances occidentales en faisant triompher le droit et la justice en faveur du peuple spolié et meurtri de la Palestine, victime aujourd’hui de crimes de guerre, de crimes contre l’humanité et de génocide face aux puissances indifférentes devant le drame vécu par ce peuple et qui persistent à protéger Israël, l’occupant de la terre palestinienne dont l’unique forme d’expression reste et demeure la guerre.
De nombreux avocats et juristes à travers le monde ont étudié et œuvré pour que ces crimes sauvages soient reconnus par le droit international.
Madame la procureure de la CPI ne veut pas se décider, ne veut pas que la Palestine soit défendue par sa cour soumise à l’impérialisme des puissants.
Ci dessous, un article du Guardian sur la question de la frilosité de la procureure de la CPI pour la prise en charge de la plainte de la Palestine relative aux crimes de guerre commis par Israël sur son peuple en ce moment.
Ce jeudi, plus de 150 hommes, femmes et enfants se sont recroquevillés dans de petites boites en bois devant le Parlement à Londres, pour représenter le siège de Gaza, et demander que le gouvernement britannique intervienne pour sa levée immédiate.