Raymonde Peschard


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dimanche 13 janvier 2019
par  Alger républicain

Raymonde Peschard, martyre de la guerre de libération, tuée une deuxième fois*

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Raymonde Peschard tombée au champ d’honneur le 26 novembre 1957 à l’âge de 30 ans

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Lâchement exécutée d’une balle dans la nuque le 26 novembre 1957 par l’armée française, la chahida Raymonde Peschard, surnommée Taoues par ses soeurs et frères du maquis, a été honorée par la République algérienne qui a donné, en 1963, son nom à une artère de la ville de Constantine.

Une Algérienne d’origine européenne qui a fait la révolution ? Cela ne cadre sûrement pas avec l’image sélective que certains « historiens avisés » veulent faire passer. Ils se gardent bien de restituer la réalité du combat du peuple algérien pour briser les chaînes coloniales.

A N

lundi 27 novembre 2017
par  Alger républicain

Raymonde Peschard assassinée par l’armée française

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Raymonde Peschard tombée au champ d’honneur le 26 novembre 1957 à l’âge de 30 ans

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Elle était en partance vers la Tunisie avec un groupe de compagnons d’armes de la wilaya 3. Le groupe quittait le maquis sur instruction de Amirouche, alors commandant militaire. Les maquisards traversaient la chaîne des Bibans lorsque l’armée française les repéra à Draa Errih, sur le djebel Tafertas, à une vingtaine de kilomètres de Medjana (Bordj Bou Arreridj).

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par Mohamed Rebah
Chercheur en histoire
auteur

mercredi 26 novembre 2014
par  Alger républicain

26 novembre 1957, Djebel Tafertas - Drâa Errih Raymonde Peschard

Il y a quarante-sept ans, le 26 novembre 1957, un groupe de l’ALN qui se dirigeait vers la Tunisie sur instruction du Colonel Amirouche, fut accroché par une unité de parachutistes de l’armée colonialiste française. Le groupe se bat pour échapper à l’encerclement, Raymonde Peschard (que les Moudjahidine nommaient Taous) et ses compagnons de lutte, l’aspirant Arezki, Redjouani, étudiant en mathématiques spéciales, le docteur Belhocine et le sergent Tahar qui font partie de ce groupe tombent au champ d’honneur.

Parmi les femmes engagées dans la guerre d’indépendance, Raymonde Peschard était l’unique Algérienne (née à Saint-Eugène, dans la banlieue-ouest d’Alger), de souche française, présente au maquis.

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William Sportisse

Alger républicain

Du 16 au 30 novembre 2004

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Raymonde Peschard -Alger républicain nov 2004
mercredi 26 novembre 2014
par  Alger républicain

Emouvante conférence-débat sur Raymonde Peschard organisé par l’association des amis d’Alger républicain, mi juillet 2005

Raymonde Peschard - portrait réalisé par Mustapha Boutadjine

Dans la 2e quinzaine de juillet 2005, une émouvante conférence-débat sur Raymonde Peschard fut organisée sur proposition du Dr Laliam, par l’association des amis d’Alger républicain, ? la Maison du peuple ? Alger.

C’est la première fois qu’une conférence publique est consacrée en Algérie ? la contribution d’un(e) militant(e) communiste ? la libération de l’Algérie. Le docteur Laliam avait tenu ? faire son récit ? l’occasion du 43e anniversaire de l’Indépendance.

L’on apprend ainsi que Raymonde Peschard avait été dépêchée avec deux autres compagnons pour chercher des renforts. Ils sont pris en plein dans la nasse. Elle est exécutée immédiatement après sa capture. Elle avait refusé, comme le médecin Belhocine, de révéler le lieu où se cachaient les autres infirmiers.

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Ali El-Moufdi

publié dans Alger républicain

mi-juillet 2004

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Emouvante Conférence débat sur Raymonde Peschard - 1 - Alger républicain. Juillet 2005
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Témoignage du Pr Laliam sur Raymonde Peschard, morte pour l’Algérie indépendante - 2 - Août 2005
mercredi 26 novembre 2014
par  Alger républicain

Qui était Raymonde Peschard ?

Raymonde Peschard - portrait réalisé par Mustapha Boutadjine
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Le 26 novembre 1957, au matin, Raymonde Peschard était tuée d’une balle dans la nuque après avoir été capturée par un détachement de l’armée coloniale, à Draâ Errih, dans la région de Medjana. Le docteur Belhocine avait subi le même sort. Elle faisait partie d’un groupe de l’Armée de Libération nationale de la Wilaya III qui se dirigeait vers la Tunisie. Ce groupe était commandé par le docteur Mustapha Laliam qui fût fait prisonnier en même temps que son épouse, le docteur Néfissa Hamoud.